Longtemps dans le trio de tête de l’innovation pharmaceutique, la France marque un essoufflement depuis une dizaine d’année. Les centres de recherche initialement crées dans les années 60-70 disparaissent et les groupes de recherche portent leur regard vers des pays comme les Etats-Unis, la Chine ou même l’Inde. Aux Etats-Unis depuis 2013, aucun nouveau médicament en provenance d’un centre de recherche d’une société française n’a été enregistré.
Depuis les années 80, on remarque une nouvelle tendance émergente des grands groupes de l’industrie pharmaceutique, l’achat de candidats-médicaments, issus de petites entreprises ou de start’up. Pour ces groupes, il s’agit là de se positionner comme recruteur de projets et d’accompagner les penseurs de ces projets jusqu’à la commercialisation et la mise en marché de leur produit.Pour la tribune, plusieurs moyens peuvent être mis en place pour repositionner la France en tête des innovations du secteur pharmaceutique : supprimer les 35 heures pour les centres de recherche et leur laisser l’opportunité de négocier eux-mêmes leurs conditions de travail, trouver des modes de financement alternatifs pour les candidats-médicaments et leur permettre de traverser la « vallée de la mort » et de mener à terme le développement de leur projet, etc. A partir de ses propositions, on peut facilement imaginer la difficulté que représente une levée de fonds pour un pays où les finances publiques sont en difficulté…Pour la tribune, la solution réside dans la mise en place de disposition fiscale pour les grandes fortunes favorisant les actions philanthropiques par exemple.Retrouvez l’article dans son intégralité : http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/medicaments-mettre-fin-a-l-hem...
Depuis les années 80, on remarque une nouvelle tendance émergente des grands groupes de l’industrie pharmaceutique, l’achat de candidats-médicaments, issus de petites entreprises ou de start’up. Pour ces groupes, il s’agit là de se positionner comme recruteur de projets et d’accompagner les penseurs de ces projets jusqu’à la commercialisation et la mise en marché de leur produit.Pour la tribune, plusieurs moyens peuvent être mis en place pour repositionner la France en tête des innovations du secteur pharmaceutique : supprimer les 35 heures pour les centres de recherche et leur laisser l’opportunité de négocier eux-mêmes leurs conditions de travail, trouver des modes de financement alternatifs pour les candidats-médicaments et leur permettre de traverser la « vallée de la mort » et de mener à terme le développement de leur projet, etc. A partir de ses propositions, on peut facilement imaginer la difficulté que représente une levée de fonds pour un pays où les finances publiques sont en difficulté…Pour la tribune, la solution réside dans la mise en place de disposition fiscale pour les grandes fortunes favorisant les actions philanthropiques par exemple.Retrouvez l’article dans son intégralité : http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/medicaments-mettre-fin-a-l-hem...