Charline revient sur son expérience associative en tant que présidente de liste BDS

Charline revient sur son expérience associative en tant que présidente de liste BDS

Charline, étudiante en PGE1 revient sur sa première année à Paris School of Business et nous livre les dessous de son expérience associative en tant que présidente de liste BDS.

Bonjour Charline, peux-tu te présenter ?

Bonjour, je suis Charline Ducret, j’ai 18 ans, je viens d’Aix en Provence et je suis en première année à Paris School of Business.

Dans ta présentation, tu nous dis que tu viens d’Aix en Provence, le changement de ville n’a pas été trop dur pour toi ?

En effet, je vivais dans un petit village à côté d’Aix en Provence et j’ai su assez tôt que lorsque j’aurai mon bac, je partirai étudier seule dans une autre ville. Je voulais découvrir un nouvel endroit et de nouvelles personnes. J’avoue que mon intégration à Paris a été assez simple et rapide puisque l’école a mis en place une pré-rentrée qui nous a permis de nouer des liens avec les autres étudiants.

Quels sont les éléments qui t’ont donné envie d’intégrer Paris School of Business ?

J’avais pour objectif depuis la première de passer le concours Sésame afin de rentrer dans une école de commerce. Le choix était grand, c’est pourquoi j’ai fait mes propres recherches en me basant sur différents axes tels que les accréditations, les masters proposés, les universités partenaires ou encore le réseau alumni. C’est pour toutes ces raisons que je me suis naturellement tournée vers Paris School of Business.

En quelle année es-tu et quelle formation as-tu choisie ?

Je suis en première année au sein du PGE French Track dans le but d’obtenir un Master visé par l’état en International Finance. J’ai choisi ce programme, car en master nous avons la possibilité de faire de l’alternance, une forme d’apprentissage qui m’a toujours fortement attiré et le fait qu’elle soit proposé sur de nombreuses spécialisations m’a conforté dans mon choix.

Peux-tu nous parler des associations à Paris School of Business ?

Nous avons vite été mis au courant des différentes associations qui existaient dans l’école et de leur rôle au sein de celle-ci. Il y en a beaucoup, et je pense que chacun peut y retrouver ses centres d’intérêts et ces valeurs. Avec le recul, je pense que les associations ont un rôle primordial, elles permettent aux étudiants de s’investir dans la vie de leur école et de rencontrer des étudiants qui partagent les mêmes centres d’intérêts. Elles jouent un rôle majeur dans le bien-être des élèves.

Cette année, tu étais présidente de la liste BDS Boltz, peux-tu nous raconter cette aventure ? Quel était ton rôle ? Pourquoi l’avoir choisi ?

Cette année de liste a été super intéressante tant sur le point humain que professionnel.

Je définirais ce poste de la manière suivante ; le président est une personne qui pense à tout, qui fait attention à ce que tout se passe bien au sein de chaque équipe, qui porte l’image de l’association et donc de l’école lors des événements. Le président est supposé savoir tout ce qu’il se passe, en temps réel, tout chapoter et suivre l’avancé des choses. C’est lui qui donne les directives et qui gère la chronologie des missions de chacun dans l’équipe. C’est un aspect vraiment intéressant, qui permet de toucher à tout, tout en sachant déléguer et s’adapter quand il le faut, cela permet de découvrir ce qu’est le management, un domaine qui m’intéressait beaucoup et que je souhaitais découvrir.

Quelles sont les raisons qui t’ont donné envie de devenir présidente d’une liste BDS ?

Lorsque je suis arrivée à Paris School of Business, j’ai pu découvrir les différentes associations qui existaient au sein de l’école. C’est tout naturellement que j’ai été attirée par le Bureau des Sport puisque cette association portait à mes yeux toutes les valeurs transmises par la pratique du sport. Une association sportive par des sportifs passionnés et engagés dans leurs sports respectifs. J’ai pratiqué durant de nombreuses année l’équitation en compétition en ayant l’occasion de participer deux fois aux championnats de France. J’ai l’habitude de dire que c’est cette pratique du sport et l’apprentissage des valeurs associées qui ont fait mon éducation. Le fait est qu’il me semble essentiel de garder cette dynamique tout au long de notre vie et encore plus lors de nos études.

Peux-tu nous dire ce que tu as appris sur toi et en général pendant cette première année à Paris School of Business ?

Le poste de présidente est un statut qui m’a énormément appris, tant sur le plan professionnel que sur le plan social. D’abord, lorsque j’ai construit cette liste en allant directement au contact des étudiants que je rencontrais dans l’école, je n’avais pas conscience qu’au-delà du travail que nous allions effectuer ensemble, ils deviendraient par la suite de vrais amis. Nous avons vécu, une année, placée sous le nom de l’épidémie ce qui a rendu les contacts sociaux extrêmement limités. C’était compliqué de rencontrer de nouvelles personnes dans une école et une ville dans lesquelles je ne connaissais personne. Je suis persuadée que le fait de se sentir appartenir à un groupe qui a les mêmes valeurs dès la rentrée nous a permis de mieux vivre cette première année. Nous avons traversé un confinement ensemble et nous nous sommes entraidés pour vivre cette période le mieux possible.

Est-ce que les cours t’aident dans ton rôle associatif ?

Grande adepte de la pédagogie par l’action, la vie associative est selon moi un formidable laboratoire pour appliquer concrètement ce que l’on apprend en cours, et ce, pour chaque poste au sein d’un bureau. En prenant une place dans le bureau, j’ai voulu être au cœur de la vie étudiante tout en me lançant un nouveau défi d’apprentissage appliqué et c’est là que les cours ont été d’une réelle aide. De plus, les professeurs étant très ouverts, il nous est arrivé durant l’année de leur demander conseil dans nos projets associatifs.

Avec quelles actions concrètes les associations ont fait face au distanciel ?

Cette année, les associations ont été très limitées en termes d’activités et n’ont pas pu mettre en place tous leurs projets. Cependant, des événements ont réussi à être organisés à certains moments de l’année tout en respectant les règles sanitaires. Au sein de notre liste, nous mettions en place des calls une fois par semaine pendant le confinement pour garder un lien avec les autres étudiants et échanger sur nos ressentis. Je pense que toutes les listes et associations ont fait leur maximum durant cette année pour s’assurer que tous les étudiants se sentent épanouis malgré tout.

Quel est pour toi le meilleur souvenir de ton année ?

Mon meilleur souvenir cette année, c’est le tournage du teaser Boltz (un peu raté d’ailleurs), c’était la première fois que nous faisions une activité tous ensemble et que nous portions nos pulls avec notre logo. Nous avions prévu deux jours de tournage, mais le temps n’était pas au rendez-vous. Nous étions trempés, il y avait du vent et on avait froid, mais on était tous ensemble.

Quel conseil donnerais-tu aux étudiants qui souhaiteraient reprendre une association ?

Je dirais aux étudiants qui souhaitent reprendre une association de foncer, c’est une expérience incroyable qui permet un développement personnel important. Il ne faut pas avoir peur de prendre des responsabilités. Il faut s’entourer des bonnes personnes, pour travailler en équipe. Une année de liste n’est pas toujours facile, c’est une compétition rythmée de hauts et de bas, mais quoi qu’il arrive, même si vous perdez, vous en ressortirez gagnant sur tous les autres aspects de votre vie (et je sais de quoi je parle).

Charline, le mot de la fin ?

Je pense que c’est à notre âge plus que jamais qu’il faut essayer des choses, saisir les opportunités qui se présentent, se lancer de nouveaux défis et surtout sortir de sa zone de confort. C’est comme ça que l’on se découvre et que l’on prend conscience de ce dont on est capable.

0%